PASTICHE 51 ?

Comme en son temps FO est né à Marseille d’un financement des services secrets des États Unis, il semble que le groupe Pastiche 51 soit lui aussi né de la volonté de la CIA et du Mossad réunis grâce à des fonds secrets domiciliés à la banque du Vatican sur le compte de Mohamed Ben Salman, prince héritier d’Arabie Saoudite ; cependant d’aucuns racontent que Pastiche 51 serait plutôt le fruit d’une expérience sur des cobayes humains, ayant dérapé, dans un laboratoire secret de Wuhan en Chine ; d’autre encore penchent pour une rencontre de traders désœuvrés au fond d’une arrière salle d’un restaurant à fondue de fromages suisses aux truffes lors d’un sommet de Davos, traders qui ayant éclusé tout le Ruinart et sniffé toute la coke disponible auraient jetés les premières bases (mesures et paroles) du groupe sur la nappe en dentelle de la table.

Les personnes les mieux informées s’accordent surtout pour dire que ces gens ne sont pas là pour rigoler. Ielles sont investi.e.s d’une mission – musicale – afin de convertir le monde à encore plus de SSC (sacro sainte croissance) et de pieds essuyés sur le climat, sur la biodiversité, sur l’environnement et sur les droits sociaux… ou l’inverse, avec Pastiche 51, on est jamais sûr de rien.

Il aurait aussi pu être écrit ici engagement citoyen, éducation populaire, transformation sociale, Politique au sens noble du terme, artivisme, mais en fait il est préférable de s’en mettre plein la ruche et plein les fouilles avant que notre monde ne sombre définitivement, non ?

Au final et pour résumer l’expérience Pastiche 51, ça joue de la musique, ça chante, ça fait des jeux de mots plus ou moins réussis … et tout ça, si vous voulez les faire jouer par chez vous, pour pas cher, ce qui ne gâte rien en ces temps d’austérité qui ne dit pas son nom.